“La peinture comme propos”.
Un portrait anonyme, une nature morte en mutation, une vanité en guise d’espace formel, une figuration muette, cherchant à “être” entre gestation et achèvement, flirtant avec le définitif et ouverte aux hasards. Juste pour déclencher, loin de l’esthétique “sympa” du moment, comme un réflexe de réticence, une pierre à l’édifice, une histoire sans titre, un titre sans histoire, des instantanés sans décor…